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Christine Simard

Se lancer en politique pour les bonnes raisons

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À 16 ans, Christine Simard a réussi à publier une lettre ouverte dans le Journal de Saint-Bruno, dans laquelle elle déplorait le manque d’activités pour les ados.  Bien des choses ont changé depuis, mais cette lettre témoigne bien de la détermination qu’a toujours eue cette femme à faire bouger les choses dans sa communauté.

Ce saut en politique municipale est une suite logique de son implication. Christine Simard siège actuellement sur le comité de la Maison des jeunes de Saint-Bruno, après avoir été sur le comité famille durant quelques années, et avoir initié un projet pilote d’activités de développement pour les enfants autistes.

Dotée d’une énergie inépuisable, elle estime avoir de la facilité à proposer des solutions dans un esprit de collaboration : « Mettez-moi au milieu d’un groupe ou s’affrontent des positions divergentes et je saurai trouver un moyen de les rallier autour d’un objectif commun, dit-elle. Humblement, je dirais que mon leadership est de nature bienveillante, ce qui sera certainement un atout à l’hôtel de ville si les résidents du district 3 choisissent de m’élire, le 7 novembre. »

Sa priorité pour son district : aller à la rencontre des résidents. « Je sais que le fait d’habiter au sud de la 116 entraîne un certain défi au chapitre du sentiment d’appartenance avec les quartiers plus centraux de Saint-Bruno. On me parle aussi des enjeux de sécurité liés à la circulation grandissante et à la vitesse. Je sais aussi que ceux et celles qui l’habitent ont beaucoup d’idées, et ils auront une oreille très attentive avec moi. Ultimement, c’est tous ensemble qu’on pourra faire progresser positivement les choses. »

Christine fait partie des pionniers des communications numériques au Québec. Elle agit aujourd’hui à titre de consultante stratégique dans ce domaine, après avoir dirigé les communications et marketing de la société EXO (trains et autobus de banlieue).  Pas surprenant qu’elle ait une vision bien définie du développement du transport collectif pour Saint-Bruno : « Les gens n’abandonneront pas leur voiture s’ils n’ont pas une proposition alléchante en transport collectif, et il y a beaucoup de place pour l’innovation dans ce domaine », dit-elle. Voitures électriques en partage, transport sur demande, circuits gratuits d’autobus vers le cœur de village font partie des pistes de solution à explorer.  « On doit prendre tout le monde en considération, autant les ados que les aînés, les étudiants collégiaux et universitaires que les travailleurs qui partagent leur temps entre télétravail et bureau, à Montréal. Le futur est à notre portée. »

Christine Simard a un baccalauréat en enseignement de l’histoire et une maîtrise en histoire de l’Université du Québec à Montréal.  Lors de ses études à la maîtrise, elle a choisi d’étudier plus spécifiquement les membres du conseil municipal de Montréal aux XIXe et au XXe siècles ainsi que les enjeux du développement urbain. Au cours des vingt dernières années, elle a œuvré à titre de gestionnaire dans les médias numériques, notamment à Radio-Canada et chez TC Media (Transcontinental).

Quiconque prend le temps de lui parler réalise vite que chez Christine Simard, les idées ne manquent pas. Mais comme elle est très pragmatique, ses idées ne relèvent pas du rêve, mais doivent être dirigées vers l’action, au bénéfice de tous. « Pour moi, l’avenir de Saint-Bruno-de-Montarville doit être le fruit d’une démarche de co-création avec les citoyens. Je suis arrivée ici à l’âge de 3 ans, j’y ai grandi et j’y suis revenue après mes études pour y élever mes enfants et être près de mes parents. C’est une priorité pour moi de faire en sorte que Saint-Bruno soit un endroit où nous pouvons profiter d’un bien-être exceptionnel à tous les âges de la vie, de l’enfance à l’adolescence, à l’âge adulte avec les enfants, puis en vieillissant. » 

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