Martyne-Isabel Forest
L’amie des aînés… et des commerçants
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Quand on demande à Me Martyne-Isabel Forest ce qui l’a motivée à faire le saut en politique municipale, la réponse ne tarde pas : « Je veux contribuer à faire de Saint-Bruno LA ville où il fait bon vieillir ! » Elle croit qu’on peut faire plus pour les aînés et c’est avec la collaboration des organismes du milieu qu’elle souhaite s’atteler à la tâche lorsqu’elle sera élue.
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Cet intérêt pour le « bien vivre » de nos aînés n’est pas nouveau pour elle. En fait, c’est sa mission de vie. Membre du Barreau du Québec, elle est spécialiste du droit de la santé et des personnes, des aînés et des aidants. Auteure de plus d’une centaine de publications scientifiques et de vulgarisation juridique et récipiendaire de plusieurs prix et distinctions, elle est très active sur les circuits internationaux de conférences. Résidente de Saint-Bruno depuis 45 ans, elle a longtemps fait la navette avec la Suisse, après avoir fondé et dirigé durant 15 ans le premier programme européen en formation continue en éthique à l’Université de Genève.
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Si elle aime « penser grand », elle croit que de petits gestes simples peuvent aussi avoir un impact dans la vie des gens. Cela fait d’ailleurs partie du rôle d’une administration municipale, à ses yeux : « Une des clés, c’est la mise sur pied de programmes et d’activités favorisant le dialogue entre les jeunes et les aînés, dit-elle. Elle a travaillé sur plusieurs projets de cette nature durant ses séjours en Europe et prévoit s’en inspirer.
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Un exemple éloquent de l’affection qu’elle porte aux aînés : en décembre dernier, elle a posté plus d’une centaine de cartes de Noël assorties d’un poème qu’elle avait composé à des personnes âgées de Saint-Bruno qu’elle ne connaissait pas personnellement !
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En soutien aux commerçants de Saint-Bruno
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Martyne-Isabel Forest a choisi de se présenter dans le district 7, non seulement parce qu’on y trouve une grande concentration d’aînés, mais parce que c’est là que se trouve le centre-ville.
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« Combien de villes de banlieue autour de Montréal peuvent se vanter d’avoir autant de commerces enclavés par les secteurs résidentiels ? dit-elle. Il s’agit de l’une des grandes richesses de notre ville, mais il faut s’en occuper ». Celle qui a l’habitude de converser longuement avec les commerçants de Saint-Bruno s’inquiète que certains aient subi beaucoup plus durement que d’autres les contrecoups de la pandémie. Selon elle, il va falloir être innovant et proactif pour les aider à assurer leur relance. Et ça commence par prendre le temps de les écouter.
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Martyne-Isabel, c’est l’amalgame parfait entre la tête et le cœur.